sabato 19 aprile 2014

BUONA PASQUA!

Il Comitato Gemellaggio di Calusco d'Adda augura a tutti voi e ai nostri cari amici di Volmerange BUONA PASQUA!




sabato 5 aprile 2014

LA VESTAGLIA DI COMPIÈGNE

La storia, a volte, percorre sentieri inaspettati, intrecciando i destini di due paesi e restituendoci a testimonianza di quel legame un oggetto insospettabile custodito in qualche museo.

I due paesi in questione sono la Francia e l’Italia e quell’oggetto è una meravigliosa vestaglia di seta verde appartenuta a Virginia Oldoini, Contessa di Castiglione e amante di Napoleone III.
Siamo nel 1856, fine della Guerra di Crimea. L’esito del conflitto è tale che non consente al Piemonte di avanzare richieste al tavolo di pace. Tuttavia, ciò che preme il Conte di Cavour è portare all’attenzione delle grandi potenze la questione italiana prima che il Congresso di Parigi si concluda.
Cavour, per riuscire nel suo intento, ha bisogno dell’appoggio di Napoleone III e per ottenerlo decide di ingaggiare la Contessa di Castiglione affinché influenzi l’imperatore convincendolo a sostenere la causa italiana: “Cercate di riuscire, cara cugina, con il mezzo che più ritenete adatto, ma riuscite”.

Virginia Oldoini ha appena diciotto anni quando giunge a Parigi, parla perfettamente cinque lingue, è straordinariamente bella, astuta e intelligente, doti che le consentiranno di muoversi agilmente nei salotti della politica.
La Contessa è una donna che ama distinguersi e la sua presenza a corte non passa inosservata, come quando a un ricevimento si fece notare per un audace abito a rete con un enorme cuore sull'inguine. All’imperatrice Eugenia che provocatoriamente osservò “Un po’ troppo in basso quel cuore, Contessa” Virginia ribatté “a me il cuore batte ovunque”.
Anticonformista ed eccentrica, Virginia dettò la moda del tempo, imponendo nell’abbigliamento l’uso del colore viola, laddove predominavano i toni del rosa, dell’azzurro e del verde. Nell’epoca in cui andavano di moda i busti si rifiutò di indossare la biancheria intima e suscitò scandalo quando si presentò alla Tuileries con un abito privo di crinolina (a quel tempo obbligatoria).




Nonostante le difficoltà iniziali, la Contessa riuscì a sedurre Napoleone III, portando a termine la sua missione. L’Imperatore accordò il sostegno della Francia al Piemonte, costruendo un’alleanza che proseguirà fino alla II Guerra di Indipendenza contro l’Austria, primo passo verso l’Unità di Italia.

Non si sa quanto effettivamente abbia pesato l’intervento della Contessa sulla decisione dell’Imperatore, tuttavia ciò ebbe un’enorme importanza per Virginia Oldoini che conservò gelosamente, per tutta la vita, la vestaglia con la quale, secondo lei, durante la notte passata con Napoleone III di Francia, cambiò la storia d'Italia.
Il suo ultimo desiderio fu di essere sepolta con quell’indumento, ma la sua volontà non fu rispettata e oggi la "storica camicia da notte di Compiègne"  è custodita nel Museo Cavouriano di Santena.

La bellezza e la sensualità di questa donna affascinante sono state immortalate negli scatti del fotografo P.L. Pierson, che la ritrarrà fino a poco tempo prima della morte.
Considerata la prima modella di fotografie di moda, la sua intraprendenza si manifestò anche in campo artistico. Fu lei a scegliere il contesto, a realizzare i costumi con cui posare, a studiare le espressioni e a suggerire le angolazioni dalle quali essere ripresa.  Intuì la modernità di questo strumento dando prova di originalità e invettiva, mostrando un “approccio artistico che nelle intenzioni e nei risultati anticipò il lavoro dei fotografi odierni”, un esempio è lo “studio sui piedi”, una serie di scatti che hanno per oggetto le gambe e i piedi della bella Contessa.

 

 


Virginia Oldoini, nata a Firenze nel 1837, morì a Parigi nel 1899.
Dopo la sua morte, la casa di Parigi dove abitava fu rovistata dalla polizia italiana che diede alle fiamme tutte le lettere e i documenti lì conservati. Gli storici del tempo misero anche in dubbio che Cavour fosse in qualche modo coinvolto in questa storia. Fortunatamente, prima di morire, la Contessa trasferì nella sua casa di La Spezia quattro enormi casse contenti i suoi diari, i documenti e molte lettere, tra cui alcune scritte dallo stesso Cavour. Solo negli anni ’50 del XX secolo le casse furono scoperte e il loro contenuto portato alla luce testimoniando la vita straordinaria di questa donna eccentrica e malinconica, il cui ricordo si è perso nei meandri della storia.

Il suo corpo è sepolto a Parigi nel Cimitero di Perè Lachaise.

Marina




La robe de chambre de Compiègne
(traduction de Richard)
L’Histoire emprunte parfois des chemins inattendus, nouant les destins de deux pays et nous restituant en témoignage de ces liens un objet insoupçonné conservé dans quelque obscur musée.
Les deux pays en question sont la France et l’Italie et cet objet est une merveilleuse robe de chambre en soie verte ayant appartenu à Virginia Oldoini, comtesse de Castiglione et maîtresse de Napoleon III.

 Nous sommes en 1856, à la fin de la guerre de Crimée. L’issue du conflit se dessine de telle façon que le Piémont ne pourra guère faire entendre ses requêtes à la table des négociations de paix. Le comte de Cavour a toutefois la volonté d’attirer l’attention des grandes puissances sur la question italienne et ce avant que le congrès de Paris se termine.

 Pour réussir dans son projet, Cavour a besoin de l’appui de Napoléon III et afin de l’obtenir, il décide d’engager la comtesse de Castiglione afin qu’elle influence l’empereur et le convainque de soutenir la cause italienne. « Cherchez à réussir, chère cousine, par n’importe quel moyen que vous jugerez adapté, mais réussissez ! »

 Lorsqu’elle arrive à Paris, Virginia Oldoini a à peine dix-huit ans, elle parle parfaitement cinq langues, elle est extraordinairement belle, rusée et intelligente, tous dons qui lui permettront de se mouvoir avec aisance dans la sphère politique.
 La comtesse est une personne qui aime se distinguer et sa présence à la cour ne passe pas inaperçue, comme lorsqu’au cours d’une réception elle se fait remarquer par une robe audacieuse tout en mailles avec un énorme coeur sur l’aine. A l’impératrice Eugénie qui, provocatrice, observe : « un peu trop bas ce coeur, comtesse », Virginia rétorque « chez moi, le coeur bat partout ».

 Anticonformiste et excentrique, Virginia fit la mode de son temps, imposant dans l’habillement l’usage de la couleur violette là où  prédominaient les tons de rose, de bleu et de vert. A cette époque où le corset était à la mode et où l’on refusait de porter de la lingerie intime, elle suscita un scandale lorsqu’elle se présenta aux Tuileries dans une robe sans crinoline (obligatoire en ce temps-là)

Nonobstant les difficultés initiales, la comtesse réussit à séduire Napoléon III, menant à bien sa mission. L’empereur accorda le soutien de la France au Piémont, scellant une alliance qui durera jusqu’à la deuxième Guerre d’Indépendance contre l’Autriche, premier pas vers l’unité de l’Italie.

 On ne sait pas dans quelle mesure l’intervention de la comtesse pesa effectivement sur la décision de l’empereur, mais cela eut une énorme importance pour Virginia Oldoini qui conserva jalousement, toute sa vie durant, la robe de chambre par laquelle, selon ses dires, durant la nuit passée avec Napoléon III de France, changea le destin de l’Italie.
 Son ultime désir fut d’être ensevelie avec ce vêtement, mais sa volonté ne fut pas respectée et aujourd’hui la chemise de nuit historique de Compiègne est conservée au musée Cavour de Santena.
La beauté et la sensualité de cette femme fascinante ont été immortalisés par les clichés du photographe P.L. Pierson qui fit son portrait jusqu’à peu de temps avant sa mort.
Considérée comme la première femme modèle de photographie de mode, son esprit d’initiative se manifesta aussi dans le domaine artistique. C’est elle qui choisissait le contexte, réalisait les costumes dans lesquels elle posait, étudiait les expressions et suggérait les angles de prise de vue. Elle pressentit la modernité de cet outil faisant preuve d’originalité et d’audace, adoptant une « approche artistique qui dans les intentions et dans les résultats anticipa les travaux des photographes d’aujourd’hui ». En est un exemple « l’étude des pieds », une série de clichés qui ont pour sujet les jambes et les pieds de la belle comtesse.
Virginia Oldoini est née à Florence en 1837 et morte à Paris en 1899.
Après sa mort, la maison où elle habitait à Paris fut fouillée par la police italienne qui dédia aux flammes toutes les lettres et documents qu’ils y trouvèrent. Les historiens de l’époque émirent un doute quant à une quelconque implication de Cavour dans cette affaire. Heureusement, avant de mourir, la comtesse avait transféré dans sa maison de La Spezia quatre énormes caisses contenant des journaux intimes, divers documents et de nombreuses lettres parmi lesquelles certaines écrites par Cavour lui-même. Ce ne fut que dans les années 50 du XXème siècle que les caisses furent découvertes et leur contenu publié, témoignant de la vie extraordinaire de cette femme excentrique et mélancolique, dont le  souvenir s’est perdu dans les méandres de l’Histoire.
Sa sépulture se trouve à Paris, au cimetière du Père Lachaise.

mercoledì 12 marzo 2014

Beaux souvenirs !


Je ne sais plus, chers amis, en quelle année (1992 peut-être ?) vous étiez venus ainsi vêtus, en référence à la brillante Renaissance Italienne, mais ce qui est sûr, c'est que nous, Volmerangeois, étions tombés sous le charme, admiratifs pour votre pays qui savait encore cultiver la fierté et le respect de ses traditions alors que nous aurions été bien en peine de trouver un groupe folklorique lorrain.

Oui, la Bora se jouait encore et c'était pour nous un extraordinaire plaisir d'y assister, avec toute cette foule massée au long des rues, la passion des concurrents et la bonne humeur qui régnait autour ces jeux faits pour amuser. Sincèrement, je n'aurais pas manqué la Bora même si on m'avait proposé le palio de Sienne à la place.

Et puis, je me rappelle un été, une semaine passée chez vous avec un groupe de jeunes volmerangeois participant au chantier de remise en état d'un sentier à Mapello. Il y avait là des jeunes de tous pays. Nous travaillions le matin et nous partions en excursion l'après-midi. Que de belles choses nous avons vues ! Et chaque soir, nous étions à la fête dans un village différent. J'ai encore en mémoire un défilé dans les rues (de Ponte San Pietro ?) avec des fanfares, des danseurs et un groupe de jeunes gens qui jonglaient avec des drapeaux, tous en costumes chamarrés ; un éblouissement !

Comme notre propre folklore, avec ses costumes de paysans et quelques chansons mal conservées, nous paraissait pauvre en comparaison ! A la vérité, nous avons oublié notre folklore au fil de notre histoire, à cause sans doute d'une industrialisation précoce, à cause des guerres et des annexions, et parce que la France nous en a fait honte afin de mieux nous intégrer (ou nous avaler !). Dommage, n'est-ce pas ?

Richard

Bei ricordi!

Non mi ricordo più, cari amici, in che anno (1992 può essere?) veniste così vestiti ispirandovi al meraviglioso Rinascimento Italiano, ma ciò che è certo è che noi Volmerangesi rimanemmo incantati, affascinati dalla capacità del vostro paese di saper coltivare ancora l’orgoglio e il rispetto delle proprie tradizioni, soprattutto considerato che noi saremmo stati appena in grado di trovare un gruppo folkloristico in Lorena.

Si, la Bora si gioca ancora ed è stato per noi uno straordinario piacere assistervi, con tutta la folla di gente ammassata lungo i bordi delle strade, la passione dei concorrenti e il buon umore che regnava attorno a questi giochi organizzati per puro divertimento. Onestamente, non mi sarei mai perso la Bora, nemmeno se mi avessero proposto di partecipare al Palio di Siena!

E poi mi ricordo un’estate, una settimana passata da voi con un gruppo di giovani volmerangesi che parteciparono a un cantiere di rimessa in sesto di un sentiero a Mapello. Parteciparono tutti i giovani del paese. Lavorammo al mattino e partimmo in escursione nel pomeriggio. Quante belle cose abbiamo visto! E ogni sera andavamo a una festa in un paese diverso. Mi ricordo ancora una sfilata per le strade (di Ponte S. Pietro?) con la banda, i ballerini e un gruppo di giovani che si destreggiavano con le bandiere, tutti fasciati in bellissimi costumi.

Al confronto noi, con il nostro folklore fatto di costumi tradizionali e qualche canzone mal conservata, possiamo apparire poveri! La verità è che abbiamo dimenticato le nostre tradizioni nel corso della nostra storia, a causa senza dubbio di una industrializzazione precoce, delle guerre, delle annessioni, e perché la Francia ce ne ha fatto vergognare al fine di integrarci meglio (o di fagocitarci?).

Un vero peccato, non credete?

martedì 4 marzo 2014

Présence italienne en Lorraine - RAYMOND LOCATELLI

Raymond, c’était notre maire de 1989 à 2002. Entre autres initiatives pour Volmerange, c’est à lui que nous devons le jumelage avec Calusco d’Adda, d’où sa maman est originaire.

Raymond est né le 26 février 1944, au village, et en vrai gars de Volmerange, il y a successivement été enfant de chœur, scout de France, clarinettiste à l’Harmonie Municipale et footballeur au Cercle Sportif avant de partir dans le sud de la France trouver le soleil et du travail grâce à sa formation de géomètre.

A son retour, en 1977, il est entré au comité du Cercle Sportif et au conseil municipal où il a siégé pendant 25 ans sans interruption, dont 13 en tant que maire. C'était un homme d’action, à la vie publique riche et dense. Même pendant son séjour à Brignoles, jeune papa, il avait fallu qu'il intègre l’équipe de rugby locale !

Tout le monde vous le dira : Raymond était un fonceur, pas toujours commode et sa diplomatie ne faisait pas dans la rondeur, mais c’était un homme de parole et de fidélité. J’en sais quelque chose pour m’être assez souvent engueulé avec lui avant qu'on aille boire un verre ensemble. Rien que pour ça, j’aurai toujours pour lui de l’estime et une pensée affectueuse. Je sais que je ne suis pas le seul.

Ciao et merci, Raymond ! Nous pensons à toi.

Richard

Présence italienne en Lorraine - RAYMOND LOCATELLI


Raymond è stato il nostro sindaco dal 1989 al 2002. Tra le nostre iniziative per Volmerange, è a lui che dobbiamo il Gemellaggio con Calusco d’Adda, paese di origine di sua madre.

Raymond è nato il 26 febbraio 1944, al villaggio, vero ragazzo di Volmerange, è stato successivamente chierichetto, scout, clarinettista alla Harmonie Municipale e calciatore al Circolo Sportivo, prima di partire per il Sud della Francia e trovare il sole e il lavoro grazie alla sua formazione di geometra.
Al suo ritorno nel 1977, è entrato a far parte del Comitato del Circolo Sportivo e del Consiglio Comunale del quale ha fatto parte per 25 anni, senza interruzioni, 13 dei quali come sindaco. E’ stato un uomo d’azione, con una vita pubblica ricca e piena. Anche durante il suo soggiorno a Brignoles, giovane papà, costituì la squadra di rugby locale!

Tutti vi diranno: Raymond è stata una persona determinata, non sempre facile e diplomatico, ma è stato un uomo di parola e affidabile. Ne so qualcosa io spesso “sgridato” da lui prima di andare a bere qualcosa insieme. Per questo ho sempre per lui stima e un pensiero affettuoso. E so di non essere il solo.


Ciao e grazie, Raymond!












domenica 23 febbraio 2014

LE PASSANTI - LES PASSANTES

Oggi voglio parlarvi di musica, di un grande della musica italiana: Fabrizio De André.
Nel 1974 il Faber (così come amava soprannominarlo Paolo Villaggio) pubblicò Canzoni, il suo settimo album, che conteneva ben undici tracce. Tra queste non passò inosservato il secondo brano del lato A, Le Passanti, una canzone straordinaria che ritengo, personalmente, una delle più belle pubblicate dal cantante genovese. A questo punto molti di voi si chiederanno: cosa c’entrano De Andrè e questa canzone con il Gemellaggio? Domanda del tutto lecita, alla quale vi rispondo immediatamente. Forse non tutti sanno che Le Passanti (Les Passantes in francese) è stata incisa nel 1972 da Georges Brassens, cantautore francese, e si basa su una poesia di Antoine Pol (poeta minore francese) che lo stesso Brassens scoprì su di una raccolta del 1918. De André, affascinato dal testo e dalla musica di questa canzone, decise di reinterpretarla in italiano, portandola al successo anche nel panorama musicale italiano. Ma di cosa parla questa canzone? Le Passanti è il canto lento che gira intorno a ciò che non abbiamo mai avuto: è lo struggimento per una felicità intravista ma mai raggiunta, con il rimpianto che diventa un'abitudine. Il testo della canzone parla della nostalgia degli amori impossibili, irrealizzati per forza d’inerzia e per mancanza di coraggio, ma che diventano consolatori nei momenti di sconforto e solitudine.

“Allora nei momenti di solitudine
quando il rimpianto diventa abitudine
una maniera di viversi insieme,
si piangono le labbra assenti
di tutte le belle passanti
che non siamo riusciti a trattenere.”


La vista di una donna (che non si è riusciti neanche a sfiorare) è un’occasione per la nostra illusione di essere un perfetto amante mancato. Questa “funzione consolatoria” ci riporta alla memoria anche una poesia di Charles Baudelaire dedicata ad una passante e contenuta nella sua raccolta “I fiori del male”. In questa poesia, il poeta rimane affascinato nel caos urbano da una donna stupenda, vestita a lutto, elegante e nobile nel portamento. Di lei nota le mani, gli occhi e lo sguardo dolcissimo, ma al tempo stesso carico di sofferenza. Non la ferma però, e sempre rimpiangerà (come cantano anche Brassens e De André) un amore consapevole ma mai colto.


Di fronte ad una canzone di tale levatura morale non si può assolutamente restare indifferenti, così come non può passare inosservato un piccolo particolare: l’Italia e la Francia sono da sempre legate da un rapporto indissolubile, soprattutto quando si parla di cultura. Fateci caso: partendo da Le Passanti cantata da Fabrizio De Andrè ci siamo ritrovati, in un attimo, in Francia, passando da Brassens a Pol, fino ad arrivare al grande Baudelaire. Insomma, due Paesi i nostri da sempre legati da una costante e immutata amicizia!

Lino

ps:  al seguente link potete ascoltare la versione di Fabrizio De Andrè: http://www.youtube.com/watch?v=HAro5MwOQxw

 
Aujourd’hui, je veux vous parler de musique, d’un grand de la musique italienne : Fabrizio De André.
En 1974, Faber (comme aimait le surnommer Paolo Villaggio) publia « Canzoni », son septième album qui comptait onze compositions. Parmi celles-ci ne passa pas inaperçu le second morceau de la face A, « Les passantes », une chanson extraordinaire que je tiens personnellement pour l’une de plus belles du chanteur génois. A cet instant, beaucoup d’entre vous se demanderont ce que De Andrè et cette chanson ont à voir avec le jumelage. Question parfaitement légitime à laquelle je réponds immédiatement.
Peut-être ne savez-vous pas que « Le Passanti » (Les Passantes, en français) a été enregistrée en 1972 par Georges Brassens, chanteur et auteur français, inspirée d’un poème d’Antoine Pol (poète mineur français) que le même Brassens a découvert dans un recueil de 1918. De Andrè, fasciné par le texte et la musique de cette chanson, décida de la reprendre en Italien, l’imposant comme un des succès du paysage musical italien. De quoi donc parle cette chanson ? Le Passanti est un chant lent qui évoque ces choses que nous n’avons jamais obtenues : c’est le chagrin qu’on a d’un bonheur entrevu mais jamais atteint, avec les regrets qui deviennent une habitude. Le texte de la chanson parle de la nostalgie des amours impossibles, non réalisées par la force de l’inertie et par le manque de courage, mais qui deviennent consolation dans les moments de découragement et de solitude.
 «  Alors, dans les moments de solitude,
Quand le regret devient une habitude,
Une manière de « se vivre ensemble »,
On pleure les lèvres absentes
De toutes les belles passantes
Qu’on n’a pas su retenir. »
 La vue d’une femme (qu’on n’a pas non plus réussi à effleurer) est l’occasion d’une illusion, de nous croire un parfait amant manqué. Cette « fonction consolatrice » nous remet aussi en mémoire un poème de Charles Baudelaire dédié à une passante et inclus dans son recueil « Les fleurs du mal ». Dans ce texte, le poète demeure fasciné, au milieu du chaos urbain, par une femme superbe, en deuil, élégante et d’un port noble. Il remarque ses mains, ses yeux et son regard très doux, mais en même temps chargé de douleur. Pourtant, il ne l’arrête pas et toujours il regrettera (comme le chantent aussi Brassens et De Andrè) un amour conscient mais jamais cueilli.
Face à une chanson d’une telle élévation morale, il est absolument impossible de rester indifférent, comme on ne peut manquer de remarquer ce petit détail : l’Italie et la France sont depuis toujours liées par un lien indissoluble, surtout lorsqu’on parle de culture. Ainsi voyez : partant des « Passantes » chantées par Fabrizio De Andrè, nous nous sommes retrouvés en France en un instant, évoquant Brassens puis Pol, pour finir par le grand Baudelaire. En somme, depuis toujours, ces deux pays qui sont les nôtres sont liés par une constante et immuable amitié !
Lino
 PS :  grâce au lien suivant, on peut entendre la version de Fabrizio De Andrè : http://www.youtube.com/watch?v=HAro5MwOQxw

lunedì 10 febbraio 2014

A propos de compétition

Amis sportifs, cisalpins et transalpins, bonjour (ou bonsoir) !

 J’ai regardé dimanche après-midi le match de rugby du tournoi des six nations entre l’équipe de France et l’équipe d’Italie.

 Ce n’est pas parce que j’aime le sport. En réalité, je déteste même le sport qui ne porte aucune des valeurs de tolérance et de fraternité que je crois primordiales et parce que le sport, pourri par les intérêts financiers et la bêtise, finit toujours par provoquer des débordements haineux et des tricheries en tous genres. Il vous en vient certainement, et sans aucun effort, de nombreux exemples à l’esprit : coups de tête, matchs truqués, fraude fiscale, combats dans les tribunes.

 Non, si j’ai regardé ce match, c’est parce que nos deux pays s’y affrontaient et que j’espérais que l’Italie battrait la France.

 Ceux qui me connaissent savent en effet que pour moi, si l’on admet qu’une compétition sportive puisse être amicale, le sport ne devrait jamais opposer des nations, des régions, des villes. Mais puisque cette forme de compétition existe, avec l’affrontement des orgueils et l’exacerbation des chauvinismes, je ne peux tenir qu’avec le faible contre le fort, avec l’outsider contre le favori. Seule m’intéresse la possibilité que David terrasse Goliath, que l’orgueil du vainqueur (spectateur ou joueur) soit ramené à des proportions qui ne pousseront pas le vaincu au désir de revanche, voire de vengeance.

 J’espère ne pas vous avoir vexés, amis transalpins, en sous-entendant que l’Italie était ici l’équipe faible. Au score de 30 à 3 à l’avantage des français, j’étais plutôt désolé mais je me suis consolé en voyant que les italiens jouaient avec intelligence, courageusement, et qu’ils méritaient vraiment de marquer. Mais comme rien n’arrivait, je me suis désintéressé de la partie.

 J’espère aussi que je n’ai pas choqué mes compatriotes français en ne supportant pas systématiquement l’équipe de France. Pourquoi en effet soutenir une équipe plutôt que l’autre ? A ce que je sache, il n’est rien, ni conflit armé, ni divergence politique, ni dissension religieuse, ni désir suprématiste, ni même de contentieux historique, qui oppose la France à l’Italie, les italiens aux français ; il n’y a donc pas de raison de créer artificiellement entre nous une opposition par le sport. Conclusion : je supporte qui je veux.


 La seule raison qui pourrait pousser deux peuples, c’est-à-dire les citoyens de deux états distincts, à s’affronter, c’est l’injustice. Et c’est précisément ce que la gouvernance européenne, tout entière occupée à favoriser et à répandre le libéralisme économique, a fait durant ces trente dernières années : mettre en compétition les plus pauvres des pays les plus riches avec les plus pauvres des pays les moins riches. Quoi de plus injuste pour tous ces gens-là que cette compétition inégalitaire -vous ne croyez pas ?

 J’espère néanmoins qu’on ne va pas, comme en 1914, organiser un match entre pauvres ! Enfin, on ne sait jamais : un petit massacre, ça relancerait bien la croissance des 1% de propriétaires les plus riches de la planète ! Je suis même sûr qu’il y en a qui y ont pensé.

Alors en prévision d’une telle éventualité, je crois que les pauvres de tous pays devraient d’ores et déjà se mettre ensemble pour monter leur équipe. Et alors là, si on jouait pauvres contre riches, vous devinez bien qui je supporterais...

Richard Hormain

 PS. Je tiens à rassurer les lecteurs : cet article n’est d’absolument aucun parti pris politique. Que nous soyons gouvernés par Pierre, Paul ou Jacqueline, ça m’est complètement égal. Ce qui compte, c’est la manière dont nous le sommes, n’est-ce pas ?

A proposito di competizione..

Amici sportivi, cisalpini e transalpini, buongiorno (o buonasera)!

Domenica pomeriggio ho assistito alla partita di rugby del torneo a sei nazioni tra Francia e Italia. Non è che io ami lo sport. In verità, detesto tutto lo sport che non porta con sé alcun valore di tolleranza e solidarietà (che ritengo essenziali) e perché lo sport, corrotto dagli interessi finanziari, ha finito ormai per provocare scontri e inganni di ogni genere. Vengono in mente facilmente alcuni esempi: testate, partite truccate, evasione fiscale, scontri in tribuna.
Né ho guardato questa partita perché si affrontavano i nostri due paesi o perché speravo che l’Italia battesse la Francia. Chi mi conosce sa, infatti, che per me una competizione sportiva sarebbe sempre amichevole, senza vedere mai opporsi paesi, nazioni o città. Ma dal momento che esiste questa forma di competizione che prevede lo scontro di orgogli e la manifestazione di sciovinismo, io non posso che tifare per il più debole, sostenere il perdente anziché che il favorito. Mi interessa solo la possibilità che Davide atterri Golia, che l’orgoglio di vincere (dello spettatore o del giocatore) sia ridotto in modo tale da non animare nei vinti un desiderio di rivalsa o di vendetta.

Spero di non aver offeso gli amici transalpini se è stato qui sottinteso che l’Italia era la squadra più debole.
Il punteggio di 30 a 3 a favore dei francesi mi è dispiaciuto, ma mi ha consolato vedere gli italiani giocare con intelligenza e coraggio, meritavano di segnare. Ma, non succedendo nulla, ho perso interesse per la partita.

Spero di non aver offeso i miei compatrioti francesi non supportando incondizionatamente la Francia.
Ma perché si deve sostenere una squadra piuttosto che un’altra? Per quel che ne so non vi è  nulla, né un conflitto armato, né una divergenza politica o religiosa, un desiderio di supremazia, né tantomeno un contenzioso storico che oppone la Franca all’Italia, gli italiani ai francesi. Non c’è dunque alcun motivo di creare una contrapposizione artificiale tra di noi con lo sport. Conclusione: io tifo chi voglio.

L’unica ragione che può portare due popoli allo scontro è l’ingiustizia. E questo è ciò che la politica europea, occupata a promuovere e diffondere il liberismo economico, ha fatto nel corso di questi ultimi trent’anni: ha messo in competizione i ricchi con i poveri, i paesi più ricchi con quelli più poveri. Cosa c’è di più ingiusto di una competizione ineguale?
Spero che non sarà organizzata, come nel 1914, una partita tra poveri! Non si sa mai: un piccolo massacro consentirebbe di aumentare la crescita di ben l’1% per i più ricchi proprietari del mondo.. Sono sicuro che qualcuno ci ha pensato.. Quindi, in attesa di un tale evento, credo che i poveri di tutti i paesi dovrebbero unirsi per creare la loro squadra.

E se si dovesse giocare la partita poveri contro ricchi, è facile intuire per chi tiferei..



PS: Voglio rassicurare i lettori: questo articolo non contiene alcun pregiudizio politico. Che noi siamo governati da Pietro, Paolo o Jaqueline, è indifferente. Ciò che conta è come siamo, o no?

mercoledì 29 gennaio 2014

ARTICOLO GD SUL COMITATO GEMELLAGGIO CALUSCO

La scorsa settimana il nostro Comitato Gemellaggio Calusco è stato intervistato dai ragazzi del GD Calusco, che ci hanno dedicato anche un articolo per le loro "missioni d'unità sociale", rubrica che ha l'obiettivo di conoscere e sponsorizzare tutte le associazioni presenti sul territorio di Calusco d'Adda.
Riportiamo di seguito il loro articolo, ringraziandoli nuovamente per la loro disponibilità!


"Lo scorso 21 gennaio abbiamo incontrato, presso la nostra sede, l’Associazione Comitato Gemellaggio Calusco d’Adda (il Comitato Gemellaggio Calusco d’Adda – Volmerange Les Mines).
Il Comitato Gemellaggio è nato nel 1991, anno in cui le amministrazioni di Calusco e Volmerange si sono incontrate per la prima volta e hanno sancito, insieme alle rispettive associazioni, l’accordo di gemellaggio europeo tra i due paesi. Il Comitato Gemellaggio di Calusco, inoltre, dal 2007 è diventato anche “Associazione socioculturale Europea”, associazione costituita dal punto di vista legale al fine di proporre ai cittadini caluschesi (in particolare ai giovani) non solo viaggi, ma anche progetti europei e scambi culturali di altissimo spessore. L’associazione, che conta al suo interno ben 60 iscritti, non organizza solo il viaggio per Volmerange quindi (che avviene ogni due anni alternandosi con gli amici francesi), ma anche numerose iniziative da legare a questo, portando i cittadini in diverse e significative località della Francia e del Nord Europa. Un esempio sono le visite a Verdun, a Dijon, a Beaune e, prossimamente, in Normandia (per citarne solo alcune in terra francese) fino ad arrivare a Burxelles e in Lussemburgo. Proprio poche settimane fa il Comitato ha organizzato un interessantissimo viaggio per Bruxelles visitando, oltre che la città, il Parlamento Europeo, assistendo addirittura ad una seduta del gruppo S&D (con tanto di saluto da parte del Presidente dell’Assemblea Hannes Swoboda). Al di là di queste iniziative, però, lo scambio culturale tra Calusco e Volmerange resta sempre al primo posto, con l’amicizia tra i due paesi che ormai dura da quasi ben 23 anni! Anni, questi, che hanno contribuito ad incrementare l’amicizia tra i cittadini delle due località, fino ad arrivare ad una stretta collaborazione per quanto riguarda iniziative e scambio di opinioni. La cultura, come dicevamo, è sempre al primo posto. Che si vada a Volmerange o che si vada a Calusco, entrambi i Comitati non perdono occasione per poter mostrare le bellezze del proprio territorio, mettendo in risalto il carattere storico, culturale, ambientale ed enogastronomico che li contraddistingue. Non mancano, inoltre, punti di vista e scambi di consigli tra le due associazioni, che dal 1991 si confrontano per poter migliorare, prendendo spunto l’uno dall’altro, la vivibilità del proprio paese (ad esempio per quanto riguarda lo smaltimento dei rifiuti o fronteggiare il problema inquinamento). Non dimentichiamo i corsi di francese organizzati in questi anni. Tante iniziative dunque, ma anche tanti sacrifici. Come gli stessi membri dell’associazione caluschese raccontano, bisogna ingegnarsi e avere molta fantasia per poter continuare a lavorare senza troppi problemi economici. La mancanza di fondi, di questi tempi, è un forte handicap per le associazioni che lavorano sul territorio ma il Gemellaggio Calusco, grazie a iniziative quali mercatini di Natale e le sottoscrizioni di fine anno (con bellissimi oggetti realizzati a mano dai componenti) riesce ad andare avanti, cercando di allargare sempre di più il proprio raggio d’azione. Da non dimenticare, sempre in tema di fondi, il contributo che la Consulta delle associazioni di Calusco ha donato al Gemellaggio nel 2011 per festeggiare i sui vent’anni, così come non può non essere citato l’Italcementi che, sempre per il ventennale del Gemellaggio, ha regalato all’associazione un masso delle nostre cave, trasportandolo gratuitamente fino a Volmerange dove è stato depositato come segno di continua e immutata amicizia tra i due paesi (a Calusco invece è presente un masso proveniente dalle miniere di Volmerange). Anche con il resto delle associazioni il rapporto è molto buono, così come si è potuto notare lo scorso maggio, con il Comitato Gemellaggio Calusco che ha accolto gli amici francesi grazie anche all’aiuto di Sbirrando e degli Alpini. Insomma, un’associazione davvero molto attiva quella del Gemellaggio a Calusco che, concludendo, si augura che venga al più presto ripristinato l’interesse dell’attuale amministrazione verso un progetto così importante come l’amicizia con Volmerange."

 
(fonte: http://gdcalusco.net/2014/01/29/comitato-gemellaggio-calusco/)

 
 
Article GD (*) sur le comité de jumelage de Calusco

La semaine dernière, notre Comité de Jumelage caluscais a été interviewé par les jeunes gens du GD de Calusco, qui nous ont également dédié un article au titre de leurs « missions d’unité sociale », rubrique dont l’objectif est de faire connaître et sponsoriser toutes les associations présentes sur le territoire de Calusco d’Adda. Nous reprenons ci-après leur article en les remerciant à nouveau pour leur disponibilité.
"Le 21 janvier dernier, nous avons rencontré, à notre siège l’Association du Comité de Jumelage de Calusco d’Adda avec Volmerange-Les-Mines. Le Comité de Jumelage est né en 1991, année durant laquelle les municipalités de Calusco et de Volmerange se sont rencontrées pour la première fois et ont ratifié, avec leurs associations respectives, l’accord de jumelage européen entre les deux villes. Le Comité de jumelage de Calusco est en outre devenu en 2007 également « Association Socioculturelle Européenne », association constituée du point de vue légal aux fins de proposer aux citoyens caluscais (en particulier aux jeunes) non seulement des voyages, mais également des projets européens et des échanges culturels d’une certaine ampleur. L’association qui compte bien 60 inscrits en son sein n’organise donc pas que le voyage à Volmerange (qui a lieu tous les deux ans en alternance avec les amis français), mais aussi de nombreuses manifestations à rapprocher de ses objectifs, qui ont emmené les participants en diverses destinations importantes de France et du nord de l’Europe. En sont des exemples les visites à Verdun, Dijon, Beaune et prochainement en Normandie (pour n’en citer que quelques-unes en terre française) ainsi qu’à Bruxelles et à Luxembourg. Il y a à peine quelques semaines, le Comité a organisé un très intéressant voyage à Bruxelles pour y visiter non seulement la ville mais aussi le Parlement Européen, et même y assister à une séance du groupe S&D (avec un salut appuyé du président de l’assemblée, Hannes Swoboda). Au-delà de ces initiatives, l’échange culturel entre Calusco et Volmerange demeure bien sûr au premier plan, avec cette amitié entre les deux villes qui dure désormais depuis presque 23 ans. Années qui ont contribué à augmenter l’amitié entre les habitants des deux localités, jusqu’à une étroite collaboration en ce qui concerne les projets et les échanges d’expériences.

La culture, comme nous le disions, est toujours au premier plan. Tant à Volmerange qu’à Calusco, les comités ne perdent pas une occasion de montrer les beautés de leurs territoires respectifs, mettant en exergue les caractères historiques, culturels, environnementaux et oeno-gastronomiques qui les distinguent. Echange de points de vue et de conseils ne manquent pas en outre entre les deux associations qui depuis 1991, s’inspirant l’une de l’autre, se concertent pour améliorer chacune la vie dans son village (par exemple en ce qui concerne le traitement des déchets ou pour affronter le problème de la pollution).

 Nous n’oublions pas les cours de Français organisés durant ces années. Beaucoup d’initiatives donc, mais également beaucoup de sacrifices. Comme les membres même de l’association caluscaise le racontent, il s’agit d’être ingénieux et d’avoir beaucoup d’imagination pour continuer de travailler sans trop de problèmes financiers. Le manque de fonds, ces derniers temps surtout, est un handicap important pour les associations qui travaillent sur le territoire, mais le jumelage, grâce à des initiatives telles que le marché de Noël et les souscriptions de fin d’année (avec de très beaux objets faits main par les membres) réussit à aller de l’avant, cherchant toujours à élargir son rayon d’action. A ne pas oublier, toujours en toile de fond, la contribution que l’ensemble des associations de Calusco a apportée au jumelage en 2011 pour fêter ses vingt ans. Comment donc ne pas citer Italcimenti qui, toujours pour le vingtième anniversaire, a offert à l’association une pierre de nos carrières, la transportant gratuitement jusqu’à Volmerange où elle a été déposée en symbole de la continuation et de l’indéfectibilité de l’amitié entre nos deux villes. (A Calusco se trouve une pierre provenant de la mine de Volmerange.)
 Avec l’ensemble des associations, les rapports sont excellents, comme on a pu le voir en mai dernier, quand le Comité de Jumelage Caluscais a accueilli les amis français grâce à l’aide de Sbirrando et de l’association des Alpini. En somme, voilà une association du jumelage très active à Calusco où, pour conclure, on peut souhaiter que revienne le plus vite possible à l’actuelle municipalité de l’intérêt pour un projet aussi important que cette amitié avec Volmerange. »
 
(*) I Giovani Democratici Calusco